.. Silence dans la salle ..

.. Après un dimanche frais, le matin du Lundi se leva. Le soleil était visible à travers les quelques nuages grisâtre. L'atmosphère était fraîche et le vent mordait les doigts de sa fraîcheur matinale. Les oiseaux venaient de se lever et chantaient d'un doux son mélodieux. Yumio, nouvelle élève âgée de dix-sept ans à peine se réveilla dans la cabine du bâteau qu'elle avait pris la veille pour se diriger vers son nouvel établissement. Le navire ne tarda pas à arriver au quai. Les cordages furent bientôt attachés avant que les passagers ne commencent à descendre. Yû se refit une petite beautée avant de descendre elle aussi bagages en mains ..

.. Là son portable vibra dans sa poche. Elle le prit et lu un message comme quoi un taxi n'allait pas tarder à venir la chercher devant un fast-food non loin du quai. Elle s'y dirigea en traînant à moitié ses bagages qui n'étaient pas des poids plume. Arrivant devant le petit commerce elle apercut le taxi qui l'attendait, il paraissait neuf de l'extèrieur mais c'était tout autre chose à l'intèrieur. Le chauffeur avait deja été payé par ses parents adoptifs. Le chauffeur descendit et prit les bagages avant de les mettre dans le coffre, après quoi il ouvrit la portière de sa voiture et laissa entrée la jeune fille avant de la refermée ..

.. A côté d'elle une dame plutôt âgée était assise, un châpeau sur la tête, ses cheveux blancs retombaient sur ses épaules osseuses. Mais Yû perdit vite l'attention et fixa la route. Le véhicule demarra enfin, le paysage commencait lentement à défiler avant qu'elle ne s'endorme précipitamment. Une heure plus tard elle se réveilla. La dame n'était plus là et le taxi roulait encore. Elle demanda combien de temps encore il allait mettre afin de savoir si elle pouvait dormir encore un peu, en effet il y avait encore pas mal de temps avant que le taxi arrive à destination. Donc elle se rendormit peu après ses quelques paroles ..

.. Finalement après quelques heures longue de route le véhicule s'aretta devant une grille assez grande possèdant en haut des piques, plutôt inquiètant mais pas tant que sa. Yumio descendit du taxi et prit ses bagages. A peine avait-elle refermé le coffre que le véhicule partit en toute hate. Yû ouvrit doucement les grilles qui grincèrent sous la pression. Ne tardant pas à avancer elle sentit un frisson passer dans son dos. Elle envoya un message à ses parents adoptifs pour leur dire qu'elle était arrivée. Puis elle éteigna son portable et se mit à avancer à pas préssé ..
.. Après avoir marché pendant environ cinq bonne minute la batisse se leva face à elle. Là elle avanca prudemment face aux portes se dressant devant son visage ébahit, cet établissement était vraiment immense. Yû poussa doucement les portes et entra lentement dans le hall, ses chaussures claquant sur le sol, elle s'adossa à un mur et attendit, le souffle court ..

Le lendemain de sa rencontre avec une fille nommé Hana , un jeune homme plutôt étrange se baladait dans les couloirs du pensionnat n’allant pas en cours. Ulquiorra n’avait pas du tout la tête à sa aujourd’hui. Il devait faire quelque chose d’important se qu’il ne tarda pas à faire. Il sortit du pensionnat et courut rapidement, mettant toute sa vitesse qu’il pouvait. Il devait aujourd’hui passer voir sa sœur jumelle chez ses parents adoptifs. Il était seulement 8 heures du matin. Ulquiorra sauta sur des poteaux de lumière, sur des poteaux remplit de fils d’électricité. Sautant sur des arbres il passa la moitié de sa matinée pour arriver à l’aéroport et il se faufila dans l’arrière d’un avion se cachant discrètement ! Une fois arrivée dans la ville où devait être sa sœur. Après plus de 3 heures d’avion il arriva finalement la ou il devait être. La ou était sa place qui était auprès de sa sœur. Ulquiorra s’approcha de la porte et toqua, mais personne n’avait répondu et il décida de défoncer sa porte. Mais comment se faisait-il que Ulquiorra savait que sa sœur Yumio était la ? Il avait simplement cherché sur Internet !

Montant les marches, il n’y avait personne chez Yumio, donc il continua sa route et apparut dans la chambre de sa sœur après l’avoir cherché plus de 5 minutes. Il remarqua les nombreuses photos, il ouvrit l’armoire vide, sans vêtement qu’avait embarqué au pensionnat. Ulquiorra se mit au milieu de la chambre la tête basse et fixant le sol de son regard froid. Le manche de son sabre dépassait carrément, les mains dans les poches il ne bougea pas. En bas, le père adoptif venait d’arriver, Ulquiorra s’énerva et frappa contre le mur le trouant. Un souvenir qui était la trace de son poing. Derrière la porte de la chambre , le père adoptif avait attraper un fusil et ouvrit violement la porte en fixant Ulquiorra. Celui-ci ne tarda pas, il augmenta son reiatsu et fixa l’homme qui commençait à avoir mal au cœur. Se tenant la poitrine il lâcha le fusil sur le sol et tomba à genou.

Ulquiorra attrapa l’homme par le col et lui cria dessus :

« Ou est ma sœur !? »
« Je ne te le dirais pas ! Tu l’as trop fait souffrir ! Regarde toi, tu es devenu un monstre ! Je ne t'ai pas connus mais comment à t-elle pu être amoureuse ?»
« Quoi ? Sale … Ou est-elle?!*le collant contre le mur »
« Je ne te le dirais pas ! »

Ulquiorra s’énerva et asséna deux coups de poing dans la tête du vieux le faisant tomber au sol, l’arcade en sang et un cocard… C’était la première fois qu’il s’emportait autant ! Puis, il sortit du pensionnat et décida de rentrer chez lui … Après des heures de marches et d’avion, il arriva finalement au pensionnat à 19h. Il avait fait et était énervé, il enleva son sabre de son épaule et rentra dans le pensionnat. Tête basse, il ne remarqua pas du tout la présence de sa sœur qu’il avait toujours aimée. Toujours autant énervé il frappa contre le mur . Il se tourna vers les escaliers et laissa son sabre tomber sentant une présence derrière lui. Cette personne si discrète avait étonné Ulquiorra qui avait lâché sont sabre sous l’étonnement. Son sabre résonna dans toute la pièce et il ne prit pas la peine de se retourner .

HRP : Je ne ferais sûrement plus de Rp comme sa . J’ai toujours de l’inspi au début XD

.. Alors que Yumio était absorbée par le sol, un autre monde, une autre vie. Yumio entendit un son frappait ses tympas, comme si il les aggressaient. Elle releva le regard, elle apercut quelqu'un, quelque chose, une silhouette, floue. Une simple ombre dans son esprit. Le visage de la jeune femme semblait fermé, éteind. Cette ombre devînt un peu plus visible, elle plissa alors les yeux pour mieux voir. Soudain, son regard s'ecarquilla, elle crut mal voir, ce n'était pas possible, ce n'était pas Ulquiorra. Elle passa alors devant lui pour mieux le voir, observant son visage, c'était bien lui. Les larmes lui montèrent, laissant ses yeux un peu rougit, elle sauta au cou de son frère, les larmes perlant sur ses joues, elle murmura son prénom, la tristesse debordant de son visage ..
.. La jeune femme resta contre lui, pleurant, la tête contre son torse, bras autour de sa taille, visage caché contre son t-shirt, les gouttes d'eau salés innondant le haut d'Ulquiorra. Celà faisait des mois entiers, Yumio avait tout fais pour chercher, mais rien. Son coeur battait vite, laissant sa respiration s'accelerer un peu, ses sanglots augmentant au fur et à mesure. Elle se rappellait de l'accident de leur vrai parents, du moins, juste ce coup de fil qui lui avait fichu la trouille, perdre déjà les plus proches puis voilà deux parents adoptifs.. Yumio sentait comme une chaleur autour d'elle, comme si son frère était une flamme ardente ..

La personne qui était derrière lui ne bougea pas, le bruit sourd lui avait à moitié fait sourd. Et de plus cette fille ne parlait pas et restait sur le sol froid. Ulquiorra lui ne bougeait pas non plus et regardait droit devant. Cette fille n’était pas sa sœur donc aucune importance pour le moment… Du moins, il ne savait pas que c’était elle, il se baissa et repris son sabre. Il remit son sabre autour de sa taille. Ulquiorra recula légèrement et voulut reprendre sa marche, mais cette fille lui courut après et lui barra la route. Il ferma les yeux sans regarder cette personne et l’attrapa par l’épaule pour l’enlevé de son chemin. La fille lui sauta dans les bras et il ouvrit les yeux ! Qui était cette fille qui lui avait sauté dans les bras ? Il baissa les yeux et remarqua avec étonnement sa sœur. Il la serra à son tour contre lui, les larmes de Yumio lui mouillait tout le haut ce qui ne dérangeait pas du tout Ulquiorra qui ne bougeait pas du tout. Il commença à la fixer et dit :

« Yumio … Tu as tant changer… Mais tu es resté toi humaine … Regarde moi ! Je ne suis plus l’homme que tu as connu. »

Puis, un vieux rentra dans le pensionnat et monta les marches, il avait une pancarte dans les mains avec écrit Yumio dessus. Ulquiorra n’avait pas encore de personne avec lui dans sa chambre. Etait-ce elle qui allait avoir le plaisir d’aller avec lui ? Le mi-humain et mi-monstre attrapa la main de sa sœur et commença à partir vers ces valises. Il les attrapa tous et repartit vers les escaliers. Puis, il sauta et apparut au dessus des escaliers très rapidement décoiffant même sa sœur. Avec sa main il la recoiffa et la fixer dans les yeux en lui souriant.

.. Yumio laissa faire son frère, elle se demandait si celà allait être comme avant ou si ils se separeraient bien vite. Quand il se traita lui même de quelqu'un de pas humain, la jeune femme fronca un peu les sourcils, pas vraiment contente de ses paroles. Elle le devisagea un moment, ses larmes avaient cessées mais avaient du mal à ne pas recouler, une musique trottait doucement dans sa tête, donnant une allure encore plus triste à la scène. Yumio s'approcha doucement d'Ulquiorra et lui deposa un baiser sur la joue mais assez proche de lèvres, se rappellant d'avant, elle se crispa un peu, mais n'en partagea rien. Elle detourna ensuite son regard vers la salle, silencieuse, regardant dans le neant, le vide total dans sa tête, la folie dans son esprit. Ulquiorra était la seule personne qui alimentait sa vie à présent, son seul moteur ..
.. L'Humaine était fatiguée de tout ce voyage, elle en avait marre de sa journée, en y pensant, elle regarda sa main qu'Ulquiorra n'avait toujours pas lâché, ses joues devinrent légèrement rouge avant de reprendre une simple couleur pâle. La jeune fille garda la main de son frere dans la sienne puis commenca à avancer dans le couloir, caressant doucement la peau de sa main de son pouce ..

Ulquiorra commençait à regarder sa sœur d’un air calme, qui pleurait. Ces vêtements complètement mouiller, il enleva ces mains des manches du vêtement et le laissa tomber vers le bas toujours restant accroché à lui. Son regard était resté froid malgré qu’il vienne de retrouver sa sœur. Apparemment, elle était vraiment heureuse de le retrouver. Ulquiorra n’avait pas oublié leur relation qu’il avait eux ensemble. Un couple avaient-ils former ensemble … Mais après tant de temps passer, les sentiments entre les deux était rester les mêmes depuis toujours. Une fois les valises dans les mains de Ulquiorra, ils se mirent à avancer ensemble et à monter les marches. Une fois en haut, le vieux commença à frapper contre la porte de Ulquiorra le cherchant. Celui-ci était derrière lui et il dit :

« La … »
« Ah ! Monsieur Schiffer ! Votre sœur est arrivée il y a quelques heures ! Elle est dans votre chambre ! »
« Je sais… »

Puis, l’homme partit, il devait être l’homme à tout faire ici. De toute façon, cela l’importait peu ! Lui avait retrouver sa sœur et s’était le principal. Toujours les valises dans les mains et son torse tout blanc dévoilé, il se retrouva avec sa sœur devant la porte. Tout les deux lisèrent ensemble les noms, et le vieux avait raison ! Ils étaient bel et bien ensemble, Ulquiorra inséra la clef dans la serrure et ouvrit la porte. A côté de lui, Yumio, il déposa les valises sur le sol de l’entrer et rentra. C’était lui-même sa première fois qu’il entrait en ce lieux avec une chose nommé lit. Dans la chambre, deux lits, les deux lit étaient deux places. Malgré que le portable de Yumio était éteint, elle recevrai sûrement un message de ces beaux parents qu’il avait frappé. Mais lui n’en avait que faire de ce qu’elle pensait. Et elle n’allait pas lui crier dessus pour sa. Un cocard c’était pas grand-chose.

» Reflechit dans son bureau ! [libre]